Tout est bidon !

Voilà pour la manœuvre en elle-même. Mais une critique plus fondamentale a été émise à l’encontre de la thèse du survol.

Cette thèse s’appuie sur un postulat de fabrication et de manipulation quasi généralisée. Débris, dégâts, trou de l’anneau C, témoignages, lampadaires… quasiment l’intégralité des pièces retrouvées combinée à l’ensemble des témoins présents aurait dû être disposée et préparée de manière à faire accepter la thèse d’un impact réel.

 

Tout est faux ?

 

Est-il réaliste d’imaginer un tel degré de planification, recouvrant un risque de fuite et d’erreur majeure, pour une opération qui aurait pu s’imaginer plus simplement ?

La réponse du CIT à cette objection est que l’opération a été réalisée de façon militaire, avec un incroyable degré de préparation et une planification extrêmement sophistiquée.