Accueil > Les traces de l’attaque > Les dégâts > L’impact sur la pelouse et sur le générateur

L’impact sur la pelouse et sur le générateur

La grande pelouse située devant la façade n’a pas été touchée par l’aéronef, comme en témoigne la photo ci-dessous :
En revanche, un générateur mobile destiné aux travaux de rénovation qui étaient en cours, et un muret, situés devant la façade, ont été heurtés par quelque chose.
Le schéma suivant présente les éléments situés devant la façade, et reproduit l’emprise d’un Boeing 757 :
Ce schéma met en évidence 2 obstacles au tracé de l’avion : le générateur, et un muret. Voyons si les photos confirment cette disposition.
L’impact sur le générateur est confirmé par les données photographiques, telles que celles-ci :
Arrachement du grillage Rainure sur le toit du générateur [1]
Reproduction à l’échelle du vol 77 (calé sur le premier plan) de deux chercheurs. 

Selon ce montage, l’arrachement du grillage situé autour du générateur et la rainure sur le toit du générateur semblent compatibles avec la théorie d’un vol commercial, et affaiblissent la thèse du missile.
Selon cet autre montage, basé sur la reconstitution en 3D des paramètres de vols issus des boites noires et réalisé par Pilots For Truth, l’avion n’aurait pas pu descendre assez bas pour venir frapper le générateur.
Un petit muret a également été impacté lors de l’attaque. Certains enquêteurs affirment qu’il corrobore le passage des réacteurs au ras du sol, comme illustré ci-dessous :
Image extraite du travail de reconstitution de 911 Case Study: Pentagon Flight 77 Photo prise après le crash ; on voit le muret partiellement démoli dans le cercle rouge
Il faut également préciser que de nombreux débris visibles sur les photos prises après le drame proviennent du matériel du chantier de rénovation qui était encore en cours le matin du 11/9. Parmi les éléments visibles, on peut deviner des baraques de chantiers mobiles (sur remorque) et des rouleaux de gaine.
La position de ces rouleaux, apparemment laissés intacts et non renversés malgré leur taille importante (près de 2m de diamètre), est apparue suspecte à ceux qui contestent la thèse du Boeing. En effet, les réacteurs, ou du moins leur souffle, auraient dû renverser ces rouleaux.
Pas facile de trancher répondent d’autres membres du « Mouvement », comme Jim Hoffman, qui affirme que les défauts de perspectives induisent l’impression que les rouleaux étaient collés à la façade, alors qu’ils en étaient éloignés d’au moins 10m, et que de plus, ils étaient situés entre les deux réacteurs.
A noter également, cette photo, qui aurait été prise 4 jours avant l’attaque, qui présenterait des indices de la trajectoire suivie par l’avion – ou supposé tel.

[1] Jack White (911 studies)  suggère sur ce point une manipulation d’image – la rainure n’est en effet pas alignée avec la trajectoire de l’avion.  Cela est cependant probablement du au fait que White n’a pas tenu compte de la rotation du générateur suite au choc subi… ou presque pas, et si le générateur a été heurté par un éclat et non par l’avion lui-même, mais où donc est l’éclat ?